J’ai pris conscience il y a quelques années maintenant, que notre corps pouvait souffrir de différentes manières d’un passif émotionnel compliqué, non résolu, inaccepté.
Nous naissons tous avec des problématiques qui ne nous appartiennent pas, qui ont leurs fondements dans les générations précédentes, et d’autres qui apparaîtront dans l’enfance. Si nous ne nous éveillons pas à les dépasser, ce sont nos enfants qui répèteront les schémas inconscients familiaux : c’est ce que l’on appelle la mémoire cellulaire. Rétablir notre triade “physique, mental et émotionnel”, c’est prémunir nos enfants de schémas répétitifs, mais c’est également préserver notre santé à venir.
C’est notamment ce à quoi répond la kinésiologie : trouver la source du déséquilibre qui créé la symptomatologie, et amener le client à faire du lien entre les deux. Elle fonctionne dans le sens contraire de la médecine conventionnelle allopathique, qui ne traite que le symptôme. Traiter le symptôme apporte le confort, traiter l’origine apporte la pérennité.
De mon point de vue, la pérennité est le chemin vers le déploiement de soi, de l’acceptation, et le franchissement d’une étape qui ne sera plus à faire.
Si la kinésiologie m’a aidée, je trouve qu’il n’existe pas meilleure satisfaction d’aider les autres à mon tour, d’amener autrui à la compréhension de soi, à la découverte de ses potentiels, pour atteindre son accomplissement personnel.